Khevain, l'unique

Histoire :


Dans une "bourgade" au nord des terres connues de fangh si peu peuplée qu'elle ne porte que le sobriquet de Cul-de-barril, est né un bébé laid, braillard et enveloppé.

Dame nature fais beaucoup d'essais avant de nous produire la crème de la crème de la génétique. Khévain n'est qu'un raté parmis tant d'autre dans ce monde grotesque. Ses parents paysans ne lui ont fourni qu'une vie dans la misère, entouré de frères brutaux de sœurs douteuses et de cousins consanguins (oui dans cette bourgade tout le monde est cousin).

Son nom vient d'une phrase marrante trouvée par son père pendant une de ses nombreuses nuits de beuveries à la bière la plus immonde qu'il soit donné de goûter. Au début c'était " Ya t'y pas que qu'du vin la ddans" , ce qui s'est rapidement réduit à khevain (mal écrit évidemment, il ne sait même pas écrire son prénom d'ailleurs) pour des raisons évidentes de rapidité de prononciation.

Khevain vivait donc la majeure partie de son enfance dans la crasse, ou bien dans les champs. Il ne brillait ni par son intelligence, ni par son habileté. toujours à oublier ou était la fourche, ou bien à rater les nœuds les plus simples qui soit pour retenir les bestiaux du coin.

Son seul plaisir dans la vie était le moment du repas, il fais plus chaud dedans que dehors de la cabane moisie familiale, et pis c'est le seul moment de la journée ou il est assis ou allongé. sauf quand il fait nuit, mais bon quand il fais nuit on dort et quand un dort on profite pas d'être assis.
Malheureusement ces brèves intermèdes gustatives furent bien trop souvent ponctuées de bataille entre gosses pour avoir la part de l'autre. N'étant pas le plus costaud, khévain sautait régulièrement les repas.

Il se débrouilla pour manger ce qu'il y avait dehors :  herbe, fleurs, rats, insectes et j'en passe. De ce fait il développa un gros complexe de manque due aux famines répétée qu'il a enduré.

Arrivé l'adolescence il se jura de ne plus jamais ressentir la faim, et si par malheur la famine venait à arriver, Il serait capable des pires atrocités.

C'est en allant pour la première fois dans une bourgade un peu plus grosse et étant doté d'un marché qu'il compris bonant malant l'utilité des "pièces jaunes" qui peut fournir une quantité de nourriture en fonction du tas de truc brillant donné. 

C'est alors qu'il eu la seule et unique idée jusqu'alors. Avoir pleins de pièces c'est avoir plein de nourriture donc plus besoin de se battre pour avoir de la nourriture à la maison. Et c'est donc avec la récolte de la vente de la dernière vache de la "ferme familial" qu'il s’enfuia sur les routes.

N'ayant aucun sens de l'orientation il pris des nombreux chemins au hasard et fini par tomber, par chance, sur un campeur mort étranglé dans son vomi à coté d'une bouteille vide allongé dans ce qui semblerait une tente. Sans remords il s'empara du matériel présent. Puis parce que l'occasion se présentait et qu'il n'avait aucune idée quel gout la viande humaine pouvait
avoir, et que ça faisait 3 jours qu'il avait pas mangé de viande. Il pris une bouchée du bras du macchabée. c’était un peu rance mais ça avait un gout de poulet pas cuit.

Il repris sa route sans but avec un sale goût dans les dents, mais se dit qu'il faudrait goûter ça cuit et qu'il faudrait qu'il arrête d'avoir des idées aussi. Mais ça il arrivait pas à bien l’imprégner dans sa tête...

Présentation physique :


Il est de taille moyenne : 1,70m pour 70 kg, sale dans ses vieux habits de paysans. Une tête ronde et façonnée par un forgeron fou à coup de marteau, un nez cassé jamais réparé. des yeux noirs glauques et des cheveux bruns qui n'ont jamais connu le moindre shampoing. Ses mains sont caleuses à force de travail forcé dans les champs de sa famille. Il parle avec un patois rural ( le pléonasme n'est qu'un euphémisme pour décrire sa façon de parler) presque incompréhensible, se gratte par tic ses oreilles et ses manières de vie sont proches du néant : un cochon paraîtrait plus poli.

photo :



Psychisme : 
Aucun accès à une quelconque éducation, même compte revient du défi quand ça dépasse le nombre de doigts de la main. La force est une solution valable tant que le gars en face est pas plus fort. Il vit au jour le jour et n'a aucune notion de vie en communauté, sa survie passe au dessus de celle des autres formes de vie. N'a jamais vu une once de magie. Mange tout, littéralement (qu'importe la chiechie du lendemain). Laisse entièrement ses pulsions le guider, pas de retenue. Vicieux et sournois s'il parvient à trouver le temps de réfléchir (longtemps quand même).

Vous ne savez pas ce qu'il fait dans le groupe, et lui non plus mais si y'a à manger ou des "pièces jaunes" pour manger plus tard il vient. c'est moins fatiguant que de chasser.

Eh ben en v'la un pas gâté par la nature!

Excellent personnage. J'aimerais bien qu'il fasse sa première quête avec moi.

Par contre, je crois que tu n'as que deux compétences à choisir en temps qu'humain. Vu le background, autant enlever Sentir des pieds. C'est le plus cohérent. Et sinon, un score de 8 en AD te fait diminuer ton AT ou ta PRD de 1 point.

Sentir des pieds vient des chaussures de paysans, et birdibeuk prends pas en compte le malus d'AT ou prd quand tu as une ad de merde. mais je vais apporter des précisions et changer ce qui dois être changé?

PS: 

Excellent personnage. J'aimerais bien qu'il fasse sa première quête avec moi.

 Non tu n'as pas envie de rencontrer un gars pareil, crois moi.