Ariêstot le paladin de Khornettoh

Bonjour à tous chers lecteurs aujourd'hui je vais vous comptez le commencement de cet incroyable humain qui est Ariêstot, au début de notre histoire et jusqu'à lors il n'a pas accompli bien des quêtes incroyables ni de merveilleux haut fait, mais c'est dans sa personnalité que se cher humain est pleinement intéressant à découvrir. Pensez vous en savoir assez sur le culte de Khornettoh et bien chers amis vous n'êtes pas au bout de vos surprises car Ariêstot n'est pas ou du moins ne sera pas celui que vous pensez qu'il pourrait être !
«L'habit ne fait pas le moine mais il permet de rentré au monastère » qu'un vielle et d'ailleurs mon meilleur ami m'a dit un jour, et maintenant entrons au coeur de notre récit voulez vous.


Cette histoire commence donc dans une nuit de notre ère dans la cité de Waldorg un homme humain et sa femme humaine également habiller de cape et de capuchon sortirent en rasent les murs et marché discrètement, dans ses bras la femme tiens un panier en osier.
C'est gens de bonne augure vivant dans une petite maison près de la rue des pos-pourris au sud de la place Simmons. A observer leur déplacement en évitant les gardes de la milice (pourquoi et bien peut être n'avait-il pas envie que l'on les surprenes), il se diriger en direction d'une chapelle au style gothique avec des gargouilles et démons qui orne l'édifice.C'était la chapelle du culte de Khornettoh ils arrivèrent à quelques mètres du lieu dit, ils étaient caché près d'une maison derrière un tonneau accroupies, la femme resta accroupie en regardant son panier d'osier tout en auscultant les environs pour prévenir sons marie d'un éventuel garde qui pourrait arriver, son marie quand à lui se mettant un genou à terre et tête au dessus du tonneau il avait une vision sur la chapelle, deux lampe à charbon accrocher à la façade de la chapelle éclairé le lieu.


Après avoir pris le temps d'observer il informa sa femme comme quoi la voie était libre et il se dirigèrent à quelques mètres de plus devant la porte en bois fermer de la chapelle.Ils se trouvèrent dans la rue du Voni la femme se metta de nouveau à genou au pied de la porte en bois de la chapelle avec son panier d'osier dans les bras quelle déposa délicatement sur le sol froid et dur de l'entrée de la chapelle quand à l'homme cette fois si il resta debout en observent d'un air inquiet au alentour il dit à sa femme de se dépêcher et que le temps pressé mais la pauvre femme ne puis retenir ses larmes au moment de lâché les douces et petites mains de son enfant qui se trouvé dans le panier d'osier l'homme regarda pour la dernière fois son fils d'un air sérieux, l'expression de son visage démontrait une grande tristesse qu'il ne voulu pas montrer bien sûr l'homme pris de nouveau la parole et s'adressa à son fils d'une voix très basse  « nous sommes désoler soit fort pour ton futur.. je t'aime Ariêstot. »la femme en larme se releva et se mis dans les bras de son marie qui lui la prena avec tendresse et lui caressa le dos pour la calmer et l'attendrir mais après avoir entendu un bruit venant de l'intérieur de l'église l'homme pris sa femme par la main et ils s'enfuirent dans une ruelle sombre.


-Avant de vous en dire plus sur le sort de se jeune bébé dans son panier d'osier je vais revenir à se couple qui pris la fuite. -


Après être rentré chez eux ils préparèrent pendant une petite heure des provisions et des paquetages assez lourds qu'ils chargèrent ensemble sur une charette tiré par deux buffles, une fois leur affaire chargé sur la charrette la femme était au pas de la porte de sa maison l'homme monta les 3 trois marches et rejoingnant sa femme et regarda son visage et ensuite regarda autour en observant une dernière fois son ancienne et doux foyer.La femme pris la parole « Pourquoi, pourquoi Dêritot devons nous abandonner tant ! Notre toit et notre seul enfant qu'avons nous fait pour mériter cela « 
L'homme répondit « C'est très compliquer pour la centième fois, je te l'ai déjà dit plus rien ne nous retient ici nous allons partir ou, je ne sais pas encore mais ce qui est sur c'est si nous restons ici souffrance et mort nous attendent, je suis désoler de te faire endurer tout ça Mita, mais » L'homme fut interrompu brusquement par sa femme « MAIS ALORS pourquoi l'avoir envoyer dans un lieu de religion et pire pourquoi dans se culte infâme et immonde!? 
-Je... je ne sais pas cela était mon choix et…
-Mais notre enfant va devenir un monstre Dêritot sanguinaire et sans scrupule
-Alors c'est comme ça ! C'est comme ça que tu crois en notre fils unique, c'est comme ça que tu imagine notre fils pour l'avenir aussi abruti et de la pire espèces des connards de Khornettoh
-Mais...
-Ecoute moi Mita, fait moi confiance si j'ai choisi cette chapelle et se culte c'est que j'ai de bonne raison figure toi, je ne peut rien te dire pour l'instant, mais cette enfant je pense...
-Que pense tu ?
-Et bien je pense qu'il deviendra aussi puissant qu'un des meilleurs paladin de Kornettoh mais aussi brave, bon et serviable comme nous le sommes Mita.
-Tu le pense ?
-Oui je le pense et je l'affirme !
-Je t'aime Dêritot mais je reste triste
-Je t'aime aussi Mita et... et … je suis désoler. »


Ils regardèrent une dernière fois leur maison, montèrent sur leur charette parcourant la ville en direction de la sortie et prirent la route.




Et maintenant repartons ensemble quelques temps après la fuite des bons gens dans la ruelle sombre après avoir déposé leur enfant au pied de la porte en bois de la chapelle du culte du Khornettoh.


Des bruits de pas de plus en plus distinct se rapprochèrent de la porte les bruis vinrent bien évidemment de l'intérieur, un personnage encapuchonné impossible à décrire à part sa longue robe noir et sa capuche sur la tête, il tourna la tête à droite puis à gauche mais il n'eut rien vue après s'être poser la question de regarder tout de même en haut il regarda en hauteur en vain et puis il regarda à ses pieds. Il découvrit se panier en osier (à la base le personnage voulait vérifier l'éclairage des lampes à charbon) surprit il distinct un bous de chaire puis il vue une main en s'agenouillant il vit ensuite un bras puis la tête du bébé qui se trouvai dans se petit panier. Il décida de prendre le panier il referma la porte et l'emmena avec lui il marchait en direction d'une salle qui ressembler plus à un salle d'offrande sacrificiel la salle était éclairer de lampes à charbon trois colonnes d'un côté et trois de l'autre six en tous traversaient la salle il y avait des traces de sang sur les colonnes mais l'on distinguer une silhouette nettoyant les lieux.


Le personnage après avoir traversé cette grande salle entra dans un couloir il marcha en direction d'une beaucoup plus petite sale ou la porte était entre ouverte à l'intérieur se trouver quelques tonneaux de bière, des bocaux sur un étagère avec à l'intérieur des morceaux de choses car le liquide était tellement flou que l'on pouvait à peine voir ce qu'ils pouvaient contenir au milieu de la pièce qui était éclairaient par des bougies il y avait une table ronde avec assis un homme portant le même habit que le personnage encapuchonné avec une chope à la main et une femme entrain d'aiguiser une dague.


Le personnage retira sa capuche s'était un homme assez âgé,la femme pris la parole « dit donc Ortonzar c'est quoi se panier que tu tien dans ta main gauche ?
-C'est un panier qui contient un enfant»
L'homme qui était assis à la table dit « Ca ira pour aujourd'hui Ortonzar j'ai déjà assez de boyaux, organes et sang pour les offrandes et expérience pas besoin de plus tu peux jeter ça dans les égouts ou en faire ce qu'il te plaît.
-Et bien...
La femme dit
-Alors quoi le vieux ?
-Je vais... je vais garder cette enfant et je vais m'en occuper moi même et lui apprendre à vivre et et à versez le sang au nom de Khornettoh lui apprendre aussi à haïr les prêtres de Braav’ et Malgar»
L 'homme l'interpella
« -Pourquoi prend tu tant d'importance à cette chose ?
-Et bien... vois tu Pered je suis l'un des plus vielle homme de cette chapelle et quand j'ai saisi se panier par la poignée j'ai ressenti comme une sensation étrange qui me vain au cœur comme je n'avais pas ressenti depuis fort longtemps. »
La femme reprit
-Le vieux est devenu taré
-NON ! Non salle chienne
-QUESQUE TU VIENS DE DIRE !? TU ES MORT!


La femme folle de rage s'élança en direction d'Ortonzar avec sa dague, seul un elf aurait pu éviter se coup rapide mais au même moment un bras sorta du panier et une main attrapa le poignet de la femme
elle fut surprise de l'action que vint d'effectué se bébé, la femme n'eut pas compris ce qui se passa et au même moment l'enfant serra le poignet de la femme, elle pris une autre de ses dagues avec son autre main rangé dans un fourreau au niveau de sa cuisse et elle saisit la dague et voulus couper le petit bras de l'enfant mais au même moment Ortonzar sorti une de ses fiole rangé à sa ceinture et la décapsula et envoya le liquide au visage de la femme à l'instant ou il toucha sa peau la femme laissa tomber les deux dagues de ses mains, l'enfant lâcha prise et elle tomba au sol en hurlant à la mort et en se tâtant le visage avec ses mains. Pered assis à la table se leva et partie en disant « bon et bien j'ai du boulot » il salua la femme (qui bien sur nu rien vue) et Ortonzar.






Vingt-quatre années se sont écoulé depuis se récit, Ortonzar n'est plus et Ariêstot est devenu un très bel humain aux longs cheveux noir qui lui arriver au épaules mais sans explication la pupille de ses yeux était d'un jaune orangé assez étrange pour un humain. Aujourd'hui était le jour de son vingt-quatrième anniversaires et bien sur comme à chaque événement il r'amena un sanglier en offrande à Khornettoh.


Ariêstot est un homme qui ne parle pas beaucoup à voix haute très discret il n'essaie pas de se faire remarquer il est fidèle à son culte mais il aime également faire autre chose comme se baladais en ville et OBSERVER seulement observer la populace et le passage qui était un loisir qu'il aimait pratiquer, pour ce qui est des ennuies ou de la baston il ne cherche personne et vue sa corpulence (pas très grand ni très ou trop muscler mais il est trapu mais pas gros) personne ne le chercher. Il aime aussi se balader dans les forêts qui borde Waldorg pour trouver le prochaine animal qu'il pourrait offrir à Khornettoh et aussi pour observer les lieux, le monde qui l'entoure en général l'intrigue, il y a des races qu'il trouve plus chiante que d'autres à leur façon de parler ou leur façon de faire en général les barbares ou les nains par exemple sont des races qu'il aime observer à la taverne pour voir qui va taper sur qui et comment va finir une rencontre entre un nain et une elfe.


Avant de mourir Ortonzar avait confié à Ariêstot que pour son vingt-quatrième anniversaires il aura la possibilité de partir en voyage ou? Et bien ou bon lui sembler, de traverser le monde de part et autres et de toujours être fidèle à Khornettoh du moins pour être un homme fort.


Et se jour arriva Ortonzar avait déjà prévenu les autres membres de la chapelle pour le départ du garçon et il savait qu'il aller saisir l'opportunité de quitter la chapelle ! Alors il fit l'offrande du sanglier à Khornettoh il pris le peut d'affaire qu'il avait les cultistes lui avez offert pour son départ des oreilles de cochons, d'elfes et de nains en collier qu'il refusa et 40 pièces d'or qu'il accepta.
Après quoi il partit faire quelques achats à divers marchants et tavernes et il prit la route (comme ses parents autrefois) désormais la voie du paladin n'était plus cas quelques périples devant lui !

" />