Gordal ingénieur achimiste
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Gordal ingénieur achimiste
- Histoire du personnage:
- Avant l'aventure:
Je suis née à Grangu, la petite ville dont je suis originaire. C’est pas grand, mais il y a du passage. Et oui, faut dire que sur la route entre Glargh et Waldorg il y a quand même du monde qui crapahute. Je devais pas avoir plus de 11 ans à cette époque. La vie était simple avec tout les gens du quartier on s’entendait bien. Et puis, il y avait Seraphie, la fille du couturier, la plus belle de toutes. Je me souviens, à l’époque je me disais que ça serais bien si je pouvais finir avec elle. Je crois bien que elle aussi elle m’appréciait. Le seul point noir c’était Gontran Monfroussard, le fils du seigneur local. Je pense que lui aussi était attiré par Seraphie. c’était un petit noble imbue de lui même qui pensait qu’il valait mieux que les autres juste grâce à son rang.
Je me souviens bien du jour ou j’ai compris que je ne deviendrais pas tavernier comme mon père mais que mon destin était ailleurs.
- Gordal ! Va chercher du poivre chez l’épicier, je viens de faire tomber le pot...
- Papa, j’allais partir voir les copains là ! Vas-y toi, c’est toi qui l’a fait tomber.
- M’en fiche, tu te sens de dire à tout ces voyageur qu’il seront pas servi par ce que tu dois aller jouer ? J’ai besoin du poivre pour préparer le rôtit de porc farci et l’ours à la bière. Alors magne toi !
- Pfff, d’accord j’y vais mais après tu me laisse !
Sur le chemin de l’épicerie j’ai croisé Gontran Monfroussard, flanqué d’un garde comme à son habitude.
- Et bien, et bien. Si ce n’est pas notre cher Grangu, quel heureuse surprise, justement, j’allais dans le bauge tenue par ton père. Après examen, un nouvel impos sur les auberge viens d’être mis en place dans toutes la ville. HA HA HA, Il semblerai que la seule auberge de notre ville doit encore 40 pièces d’or.
- Gontran, pourquoi fais tu ça, tu sais bien que l’on ne pourra pas payer !
- Tu sais pourquoi, c’est elle, je la veux et tu est une gène. Il me suffit juste d’écarter les gêneurs.
Sous la colère je prononçai alors les mots qui allais tout changer.
- Toi ! Tu n’est qu’un vil trous du cul !
Le sourire glaciale de Gontran se figea d’un coup.
- COMMENT OSE TU ME PARLER ! Garde, Donne lui une leçon, qu’il ne puisse plus jamais marcher.
- Non, je su...
* BAM *
Plusieurs douloureuse minutes de coup de points et de pieds se sont écoulé. J’étais à terre et le garde s’acharnait, comme si il y prenait du plaisir. Quand Gontrand jugea que c’était suffisant et que dans l’état ou j’étais, je ne représentais plus « une gène » il lui ordonna d’arrêter et partit avec un rire moqueur.
A terre, dans une marre de sang, j’entendis des bruits de pas s’approcher de moi. Lentement, quelqu’un arrivait. Malgré les blessures, j’entendis une voix âgée.
- Gamin, ton courage n’a d’égale que ta stupidité. HA HA, plusieurs fractures, le dos en compote, les jambes en bouilli, et les bras en terrine. Là faut dire qu’il t’a pas raté.
D’un regard brumeux je vis l’homme s’agenouiller, sortir de sa ceinture une fiole et la regarder.
- Il n’y a que ça qui peut marcher, gamin, estime toi chanceux que je sois de bonne humeur.
Tout d’un coup, l’homme me fis boire le contenu de la fiole. Le liquide était d’abord sucré puis une profonde amertume pris le dessus. Soudain, une intense douleur se fit ressentir dans tout mon corps. Plus intense encore que les coups que je venais de prendre. Me voyant trembler dans tous les sens, l’homme se mit à rire.
- HA HA, gamin, tu crois que quelque chose peut être gratuit dans ce monde, la nature n’est pas aussi clémente. La douleur c’est le prix que tu dois payer pour qu’elle te guérisse. Ici il ne s’agit pas seulement de recoller la chaire, mais les os.
Après une agonie qui me parut une éternitée, la douleur s’estompa et une douce chaleur envahi mon corps. À nouveau je sentais mes mains, à nouveau je sentais mon dos, à nouveau je sentais mes pieds.
Une fois debout, je vis enfin clairement l’apparence de l’homme qui m’avait sauver. Un vieil excentrique bardé de fiole et de tube en tout genre. Il y en avaient de toutes les couleurs. Certaines fessaient même des bulles. L’homme de taille moyenne avait les cheveux blanc et une barbe presque aussi grande que celle d’un nain. Il n’avait toutefois pas la stature de ces derniers. Le visage émacié, avec des cernes immense comme si il n’avais pas dormis depuis plusieurs jours. Toutefois ce qui me marqua vraiment c’était ses yeux. Malgré une apparence qui laissait suggéré qu’il était aux portes de la mort, ses yeux était plein de vie. Comme ceux d’un nourrisson.
- Merci, merci monsieur de m’avoir sauvé !
- HUM, tu as survécu ? ça prouve que mon jugement n’était pas mauvais. Maintenant comment comptes-tu rembourser ta dette ?
- Ma dette ?
- HA HA, combien pense tu que valais cet élixir ?! Je te l’ai déjà dis, rien n’est gratuit dans ce monde. Je veux ta vie, tu devras passer le restant de tes jours à me servir. J’ai des recherches de la plus haute importance à mener et je ne veux pas être importuné par des tâches ingrates comme nettoyer, faire à manger ou dormir !
- Je… Et mon père, que…
- Tu as jusqu’à ce soir pour régler ces problèmes. Je dormirai à l’auberge ce soir, et à la première heure demain matin nous partirons !
Le lendemain – Après avoir expliqué à mon père la situation et après un entretien entre lui et le vieil excentrique – nous avons quitter Grangu. Et il allait s’en écouler du temps avant que je ne revois la ville de mon enfance.
5 ans plus tard…
La chaumière du vieil excentrique est devenu mon nouveau lieu de vie. Située non loin de Glargh, toute seule au milieu des plaines. Les gens du coin surnomme le lopin de terre appartenant au vieil homme la terre hantée des miracles. Ils sont en même temps fascinés et terrifiés par cet endroit. Basiquement il y a peu de visiteur. Les gens qui viennent n’ont simplement plus d’autres choix que de se tourner vers les élixirs et autres potions fabriqués par le vieil homme. Mais la plupart commencent à déjanter dès que la porte s’ouvre. Faut dire que la chaumière, bien que grande, est plutôt terrifiante. Des livres partout, des plantes plus étrange les unes que les autres, des cailloux, métaux, même des animaux invraisemblables vivent ici ! M’enfin, j’ai pas grand-choses à faire la plupart du temps. J’ai été amené ici pour tenter de garder tout ça en ordre, et faire à manger. Sinon, j’observe le vieil homme dans ses réalisations : des poudres, potions, élixirs… Je dois bien avouer que la plupart du temps tout cela m’intrigue. Au fil du temps j’ai même réussi à glaner quelques informations du vieil homme. Il s’appelle Hal Fulmmet. Il est, à ses dire, un grand alchimiste. Un homme détermine à percer les secrets de la nature…
Un soir je rangeais des produits du vieil homme. D’un coup de coude malencontreux, j’ai renversé une étrange poudre dans l’une des préparations. Immédiatement ça a explosé. Pris de sursaut, j’ai fait tombé une table derrière moi. De la glace est apparu au sol, juste au niveau de la table ! Ça m’a fait glisser et j’ai laissé échapper les cailloux bleutées que j’étais en train de ranger. Ils ont atterri directement dans la première préparation qui venait d’exploser. Étrangement, cette fois, rien ne s’est passé. D’un coup le vieil homme est arrivé dans la salle.
- Qu’est ce que tu fous !
- Je… Heu…
- Hum ?
L’alchimiste regarda longtemps la préparation à l’origine de tout ceci. S’en approcha. Sentit son contenu. Leva un sourcil. Puis finalement la mit dans plusieurs fioles.
- HA HA HA, gamin, ta chance est pas si mal, tu viens de créer une potion ! Tiens, prend ça.Il me lança une des fioles, d’une couleur bleutée, qu’il venait de remplir. Intrigué je la mis à hauteur de mes yeux. Soudain, je sentis chacun de mes yeux partir dans des directions opposés.- Qu’est ce que ?- Tiens, c’est vrai que c’est pas commun ça... Gamin, t’as du talent. Tu penses quoi de devenir alchimiste ?- Moi ? Vous êtes sur… ?- Bah, je me fais vieux, et on dirait que tu pourrais avoir la main pour ça. C’est peut-être le bon moment pour former un disciple.- Très bien ! Et qu’est ce que je dois faire, signer un truc, me prosterner ?...- JAMAIS ! À partir de maintenant, tu pars à la découverte des secrets de la nature. La nature seul est assez digne pour que tu te prosternes devant elle. Bien, commençons. Leçon numéro 1 : Comment trouver ce que fait une potion quand on en a aucune idée ? Il faut tester.L’homme, qui est donc maintenant mon maître, m’ordonna d’aller chercher des poules à qui l’on feraient ingurgiter la substance.- Bien. Maintenant, un peu à chacune !L’homme ouvrit une potion et en donna un peu à chacune des trois poules que je venais de ramener.5 minutes, rien…10 minutes, rien…1 heure, toujours rien…- Bon, il semble que cette potion provoque juste un strabisme divergent quand on la regarde… C’est pas commun ça. HA HA HA !- Et, vous aller m’apprendre à faire des potions maintenant ?- HA HA HA, non ! Leçon numéro 2, ouvre bien tes oreilles, je répèterai pas ! La base de l’alchimie c’est les ingrédients. Ils sont tous issues de la nature, que ce soit les roches, les plantes, les gemmes, ou même le foutre de dragon. Le but de l’alchimie c’est de créer des phénomènes en associant ces éléments. Le véritable travail de l’alchimiste c’est pas d’associer aléatoirement chaque ingrédient jusqu’à tomber sur un phénomène utile, c’est de comprendre les propriétés de chaque ingrédient pour pouvoir tenter de créer les phénomènes qui te seront utiles ! Ainsi, tu vas d’abord étudier touts les ingrédients, magique ou non, comprendre leurs propriétés, leurs particularités, leurs zones d’origine. Pour résumer, retiens toujours ça, l’alchimie c’est pas l’art de créer des potions, mais l’art d’associer les ingrédients pour créer des phénomènes voulus.* Je m’empresse de noter tout ça dans un carnet *- Bien, maintenant, prend ce livre et étudie. C’est un traité sur les ingrédients magiques. Viens me voir si il y a des trucs que tu comprends pas. Mais pas quand je suis en train de concocter des potions !
3 ans plus tard…Le vieil alchimiste avait déclaré que j’étais prêt et qu’a partir de maintenant je pouvais l’assister dans ses recherches. Mon rôle s’était de lui préparer les ingrédients. En alchimie c’est pas le tout de les rassembler mais ensuite faut les préparer. Selon qu’un ingrédient soit coupé, écrasé, broyé, fondu, etc. il ne réagira pas de la même façon avec d’autres. J’ai ainsi passé les 2 années suivantes à couper, écraser, broyer, fondre, etc. tout un tas de matériaux, plantes, champignon…- Et voilà, la réaction se termine, l’onguent est prêt.- Enfin finit maitre. Maintenant le dîner !- Gordal, tu es prêt maintenant, ta maitrise des ingrédients est largement assez avancée pour concocter des potions. Toutefois pour devenir un grand alchimiste il va falloir que tu partes. Il te faut explorer le monde, pour découvrir de nouveaux ingrédients et curiosités. Pour créer tes propres recettes. Tu connais déjà la théorie des potions basiques que tout alchimiste doit savoir réaliser, il faut juste que tu commences à les pratiquer.- Maitre, non…- STOP, les secrets de la nature ne peuvent être trouvées que dans celle-ci. Mais je ne te chasse pas. Tu peux rester autant que tu veux. Toutefois, il t’est interdit de créer des potions ici.- Très bien maitre, je comprends.Le soir alors même que je passais devant le seul miroir de la chaumière, je m’arrêta pour m’observer. Avec un léger sourie en coin. Plus le temps passait et plus je ressemblai à mon maitre. La barbare non taillé, bien que courte, due à mon age. Les cheveux en bataille, le visage légèrement émacié et cerné. Peut-être que dans quelques temps, c’est moi qui passerai pour un vieil excentrique.Le lendemain matin, je dis à mon maitre que je partirai pour Glargh à midi.- Prends avec toi cet équipement, c’est celui que j’avais quand j’ai exploré le monde pour la première fois. Je l’ai fais remettre à neuf. Et voici quelques pièces d’or pour la route. Ah, et voilà un autre présent. Tu te souviens de la potion que tu as réalisés par mégarde juste avant de devenir apprenti ? Tiens, voilà l’une des fioles qu’il reste. Même si elle n’avait à l’époque aucun effet sur les poules, qui sait, peut-être que sur une autre créature l’effet sera différent. Au pire des cas ça fera un souvenir.Après le déjeuner, le temps des au revoir était donc arrivé. Sur le pallier de la chaumière, je fis mes au-revoir à celui qui m’avait appris l’art de l’Alchimie.- Au revoir Alchimiste Corlalb Gordal, prend soin de toi !- Au revoir, Alchimiste Fulmmet Hal.
- Première quête:
Une fois arrivé à Glargh, j’ai décidé d’aller dans une auberge. C’était une auberge pleine d’aventurier en tout genre. Des saltimbanques, des ivrognes, des aventuriers qui paraissaient sorti des champs et d’autres en armure rutilante. Le genre d’endroits parfais pour trouver une quête qui me permettrait d’initier la découverte du vaste monde. Un fait qui m’a particulièrement intrigué s’était de voir des aventuriers sniffer une étrange mixture. Mes instits d’alchimiste ont immédiatement été attisés. J’ai donc entamer la conversation avec cet étrange groupe. Et de fil en aiguille, il m’ont proposer de les aider dans une quête. Bien qu’il me paraissaient être de plus haut niveau, je me suis dis qu’avec des aventuriers aussi expérimenté, je serais forcément en sécurité. Ils étaient après la tête d’un groupe d’elfe noir qui commettaient des méfaits dans la région. Ce groupe été constituer d’un nain guerrier, d’une prêtresse de Slanoush, d’un barbare et d’un paladin de Vaarb, j’allais pas devoir me faire remarqué, ce sont clairement pas des enfants de cœur...
Ils ont décidés d’attaquer de nuit. Ça me laissait donc pas mal de temps pour concocter mes premières potions. Je donc voulu m’essayer aux fioles aveuglantes. Je suis aller acheter tout les ingrédients en magasin. Et après 2 heures de préparation, le tout a explosé ! Les confections alchimiques doivent être plus compliqués que ce que j’ai d’abord cru, malgré toutes les connaissances que j’ai accumulées ces 5 dernières années je n’ai pas réussi. Mais bon, ça marchera la prochaine fois !
Au finale nous partîmes au beau milieu de la nuit. Après un temps de recherche dans les plaines au nord-est de Glaargh nous avions enfin trouver le campement des bandits ! Ma grande aventure aller pouvoir commencer ! En voyant une flèche arriver et blesser l’un de mes compagnon d’un jour j’ai vite déchanter. Malgré son armure, il avais l’air de souffrir. Si je me prends un coup comme ça j’allais mal finir. Je me suis donc dit que la sécurité comptée en premier. J’ai donc installé un piège rudimentaire : une simple cordelette tendu, au niveau des pieds, entre deux arbres.
Cependant mes compagnons n’avais pas l’air d’être intéresser par mes « précautions ». Le barbare, sans même réfléchir à foncer dans le tas, suivi du nain... Un combat de cette intensité était bien trop pour moi, il allait falloir que je ruse pour prouver mon utilité ! Soudain, après que la prêtresse de Slanoush invoque un étrange sort – des faucilles tournoyantes qui piégeaient trois ennemis – je vis ma chance. J’ai couru jusqu’à la tentes ennemis la plus proche de moi. D’un coup de dague j’ai ouvert une fente dans le tissus et pénétré dans celle-ci. Je me suis emparé d’une couverture. J’avais enfin un plan. Un muret était situé juste derrière cet tente. Je bondis en haut du mur et d’un coup sauta sur un ennemi, la couverture étendue devant moi. La personne sur qui je suis atterris était la prêtresse du groupe ennemi. Malgré sa chute, celle-ci continua de psalmodier de mystérieuse paroles. Me disant que ceci ne présageait rien de bon j’ai fais une roulade dans une tente non loin. Au final, le temps de ressortir de cette tente, je vis l’un de mes compagnons sur la prêtresse qui était déjà au sol, en train d’achever cette dernière.
Tout ceci n’est pas le moment le plus étrange de cet aventure. Un homme est arrivé, prétendant être un agent de la caisse des donjons. Il m’a remis 200 pièces d’or, en m’expliquant que s’était en dédommagement d’erreurs administratives… Après avoir fouillé tout le campement, les aventuriers m’ont même autoriser à gardé la charrette à main qui été là. Au finales nous sommes rentré a Glargh et je me suis séparer de mon groupe. Note à moi même : Ne plus faire équipe avec des aventuriers si haut niveau, c’est bien trop dangereux !
- Les débuts en alchimie:
- Il était maintenant temps de reprendre le cœur du sujet. Il me fallait maintenant réussir à créer des potions. Mais premièrement, il fallait que je trouve à manger, et un endroit ou dormir. Ainsi je déambulais dans les rues de Glargh a la recherche d’une taverne. Finalement, je suis tombé sur un endroit appelé « Le bistrot des biens nées ». Roger, le tenancier, a accepté de me donner le gite et le couvert en échange de mon travail le midi et le soir. Maintenant que ma subsistance était assuré, il fallait trouver un herboriste pour acheter mes ingrédients. C’est ainsi que près de la rue de la chute de Gzor j’ai trouvé « L’Elfbonisterie » une petite herboristerie. J’ai ainsi acheter les ingrédients nécessaires, pour 190 PO. J’avais assez d’ingrédients pour faire 10 fioles aveuglantes et 5 élixirs de dépassements. La seul chose que j’ai pas réussi à trouver c’était du sang de corbeau. Faut dire que ça se conserve pas bien. Je suis donc partit à la recherche de corbeaux. J’en ai trouvées dans une ruelle un peu excentrée. Ils attaquaient une poubelle. J’ai décider de défendre cette poubelle au péril de ma vie. Au terme d’une bataille épique et colossale, j’ai triomphé ! J’ai donc ramener 5 doses de sang de corbeau. Sauf qu’après avoir tué les corbeaux (et raccommodé la poubelle) j’étais tout sale. J’ai donc due acheter le nécessaire de propreté et une nouvelle chemise… Après le service du soir, j’ai enfin pue commencer a faire mes potions ! Au prix de longues heures de travail, j’ai réussi a créer 5 fioles aveuglantes et 5 élixirs de dépassement. Maintenant, il me fallait un retour sur investissement. J’ai donc décider de trouver une échoppe qui accepterai d’acheter mes potions. Ma déception fut grande quand, après plusieurs essaies, personne n’a voulu m’en acheter. Et maintenant, j’étais pauvre.
- À l'aventure:
- Il fallait que je trouver de l’argent et vite. Je suis donc partit sur les routes, espérant vivre d’aventures. C’est ainsi que je suis arriver à Chnafon. J’y ai même trouver une quête ! Thibault l’aubergiste était dépressif. Faut dire que sa fille venait de se faire enlever… par des gobelins ! En entendant cette histoire, avec d’autres aventurier présents dans la taverne, on a décidés d’aller sauver sa fille. Il fallait bien gagner sa croute. Et la récompense était suffisante. On est donc partit sous la lueur de la lune. Je dois bien avouer que je l’ai bien mieux sentit cette fois là que a ma première aventure. Et malgré quelques difficulté, on a finalement réussi à ramener la gamine. C’est comme ça que j’ai gagner assez d’argent pour reprendre la route.
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- Fiche de personnage:
- Fiche:
- APE:
- 26 - Rescapé montagnard - En extérieur, en milieu montagneux : esquive +1
- 80 - Géologue certifié - Pour trouver l'entrée d'une grotte ou d'un passage : INT+3
- 26 - Rescapé montagnard - En extérieur, en milieu montagneux : esquive +1
Dernière édition par Blalrock le Dim 18 Nov 2018, 17:21, édité 4 fois
Blalrock- Aventurier
- Date d'inscription : 07/10/2012
Samaël Pheles- Aventurier
- Localisation : Keqpart
Date d'inscription : 04/05/2016

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