Elpurin - Ingénieur mécanicien Elfe noir

Description : Elpurin est un elfe noir d’une vingtaine d’années, de 1m71. Mais il se tient très courbé donc on lui en donnerait 10 CM de moins. Il a très mauvaise mine, son accoutrement fait peine à voir et sur les parties visibles de son corps que vous pourrez voir se trouve toute sortes de cicatrices, dont les plus visibles et reconnaissables sont sur les avant-bras. Ces cicatrices sont celles de chaînes, je vous laisse imaginer la suite. Quand on regarde les yeux d’Elpurin, on y voit un mélange de peur, d’effroi, mais aussi beaucoup de folie. Il s’exprime en parlant de lui au pluriel et en parlant aux autres au pluriel aussi. Pour résumé, ce n’est pas un méchant, juste un jeune elfe très perturbé, qui a sûrement vécu, vu et enduré beaucoup trop de chose dans sa très jeune vie. Il erre avec pour seul but de survivre.

Background : Elpurin fut vendu comme bébé a des marchands d’esclaves, par sa mère qui avait besoin d’argent pour assouvir son besoin en argent. Il fut d’abord élevé (dresser serait plus correct) à coup de fouets et de bâtons par les esclavagistes pour ne plus qu’avoir un seul but dans la vie obéir aux ordres de son maître. Quand son dressage fut fini aux alentours de ses huit (lui-même a perdu le sens du temps et ne connaît pas son âge), il fut revendu auprès d’un ingénieur peu scrupuleux et à moitié fou qui avait besoin d’aide dans son atelier. Elpruin passa toute sa jeunesse à travailler pour cet homme qui lui faisait faire tout le travail a sa place (s’occuper des armes et armures des gens de passages, construire différents mécanismes, travailler le bois) si bien que mécaniquement, Elpurin apprit se métier à force de répéter ces tâches sans cesse. Sa seule échappatoire était son carnet de croquis dans lequel il dessinait de nouvelles inventions qui n’attendaient plus qu’à être crée. Mais il ne pourrait pas le faire ici, il le savait alors il attendit le bon moment et poignarda son maître. Cela créa une énorme fracture en lui d’un côté son envie de réaliser toujours plus d’invention et de l’autre côté son « dressage » qui l’empêchait tout libre-arbitre. Il enfila une armure qui était là en réparation, pris la dague de son maître, son arc de chasse, des outils, matériaux et quelques pièces d’ors et s’enfuie loin de cette tour. Depuis, il erre sans but et tente de survivre tant bien, toujours rongé de l’intérieur par son conflit interne incessant entre ses deux personnalités.