Entré de Nilod dans le village

Questions sur le Personnage

Nom/Prénom:

Nilodrinelifadress de Lanassacanelle (alias Nilod)

Age: 35 ans (allure physique: une petite vingtaine pour un humain)
Origine: Haut elfe
Métier: Ménestrel

Liens vers la fiche de personnage:
http://naheulbeuk-online.forumactif.org/fiches-des-caracteristiques-les-aventuriers-f10/fiche-de-nilod-t1170.htm?highlight=nilod

Description
physique:
1 mètre 85, relativement mince quoi qu'un peu musclé pour un haut elfe (oui la danse reste un sport très physique même si cela n'en a pas l'air), visage fin, cheveux blond narcisse, yeux violet, allure élégante, plutôt bien habillé, chapeau à plume et tiens sa lyre familiale pour chanter quand il a du temps libre.

Description mentale:
Très instruit il ne rate pas une occasion pour faire partager ses connaissances. Il est aussi très naïf ce qui lui apporte quelques ennuis devant les pièges. De plus, n'ayant aucune formation militaire, il déteste plus que tout s'approcher d'un monstre. Il est donc très lâche et n'hésite pas à fuir dès que ça devient compliqué. Certain l'appelle "poisse-grole" car il a vu plus de 10 compagnons mourir devant ses yeux (dont une bonne partie ressusciter par les points de destin, mais cela n'excuse en rien sa fourberie).
Depuis quelques temps, n'ayant aucune obligation aristocratique a tenir, il commence à devenir comment dire ... "coureur de jupon"...


Histoire:
Nilodrinelifadress De Lanassacanelle, a grandi dans un cocon familiale très proche des haut dirigeants de Glargh. Pour des raisons de traditions ethniques, celui-ci eu des cours par des professeurs à domicile et non dans des écoles privées (qui selon ses parents : « sont surtout privé de toute considération envers les races supérieures à ces cafards d’humains »). Il reçu donc une culture très diversifiée de par l’origine raciale et géographique de ses enseignants (langues mortes, philosophie, littérature, sciences de la vie et physiques et un peu de théologie pour ne parler que des cours théoriques). Vu la longueur de son nom, ceux-ci l’appelait par les deux premières syllabes de son nom malgré les menaces des parents un peu trop proches de leur progéniture (rappelons que chez les nobles, les parents ne voient que très rarement leurs enfants pour pouvoir se concentrer sur le travail et l’entretien de leur relation sociale). Pour le coté pratique, ses parents lui enseignèrent le maniement de l’arc pour au cas où de vils brigands viendraient l’importuner. Les armes à distances sont nettement plus stylées et plus propres à utiliser qu’une épée. De plus, il reçu la lyre de sa mère qui lui enseigna donc son maniement ainsi que celui de nombreux instruments en plus de quelques cours de danses.

Plusieurs années de cours (sachant que les elfes ne peuvent mourir de vieillesse, les haut-elfes ont donc largement le temps de se cultiver en ignorant tout de la culture des choux), il aurait pu devenir le digne successeur de son père sachant que celui-ci utilisait son fils pour impressionner les foules pendant ses réceptions avec les sérénades familiales qu’il entonnait avec un talent inouï . Mais malgré ses capacités à la fois intellectuelles et physiques, notre haut elfe a un terrible handicap. Depuis tout petit, il a une trouille pas possible et stresse devant les gens sauf quand il s’agit de jouer de la musique, son unique loisir depuis sa jeunesse. En ayant assez des réceptions sans fins il s’échappa de la demeure familiale pour aller au parc des elfes durant la nuit afin de pouvoir communiquer plus aisément sa joie de vivre envers la nature.

C’est lors d’une de ses fugues nocturnes qu’il rencontra une elfe sylvain qui recherchait l’origine de ces mélodies. Après plusieurs nuits de fuites et de craintes, Nilod laissa néanmoins cette étrangère s’approcher de lui ce qui permis de créer une véritable relation de confiance et non de famille, ni de proximité sociale. Lors de sa dernière escapade, nos deux elfes se sont enfin suffisamment rapprocher pour s’embrasser. C’était sans compter sur la méfiance de ses parents qui recherchait les raisons des absences de leur fils. Après une longue série de remontages de bretelles pour l’acte blasphématoire avec une manant : il du choisir : couper les ponts avec cette représentante des classes basses de la société ,conserver son titre et ses avantages sociaux ou le déshonneur en se faisant déshériter pour vivre avec les pécores. Après une semaine de réflexion, il choisit donc de quitter le domicile familiale pour partir rejoindre celle qui lui avait apporter des évènements plus mémorables que la vie de famille à la quelle il à passer la majeure partie de son temps à regarder par la fenêtre (même durant les cours, cela va de soi). Après avoir préparer son sac, il quitta donc la ville dans laquelle il a grandit en compagnie de sa dulcinée.

Après quelques journées assez fortes en sensation pour lui (entre marcher dans la boue et des piqûres de moustiques en passant par les cris d’animaux nocturnes et sauvages), il vainquit petit à petit ses craintes de tout ce qui lui était étranger notamment à travers sa lyre, seule vestige de sa famille et d'une vie certes plus facile mais très ennuyeuse. Ils auraient passé des jours heureux si un piège préparé par des voleurs de grand chemin (vive la compétence « tomber dans les pièges ») n’avait pas donner une occasion de se faire dépouiller et surtout n‘avait pas brisé la nuque de la seule personne qui lui avait vraiment les choses essentielles de la vie. Après avoir chanter sa mélancolie pendant deux jours, il récupéra pour seul souvenir de son amour la gourmette en argent et parti à l’aventure histoire de se changer les idées. Encore faut il qu’il puisse rejoindre une compagnie acceptant d’avoir avec eux un gars qui à passer plus de temps assis sur un lit à baldaquin à rideaux qu’à marcher dans les bois.